Air TransatCommuniqués de presse

Transat A.T. inc. – Résultats du troisième trimestre de 2018

Pour partager cette publication :

Hausse du nombre de passagers, mais marges affectées par le prix du carburant

Pour le troisième trimestre :

  • Revenus de 696,6 millions $ (733,2 millions $ en 2017).
  • Perte d’exploitation de 8,0 millions $ (résultat d’exploitation de 41,0 millions $).
  • Résultat d’exploitation ajusté1 de 5,1 millions $ (59,1 millions $).
  • Perte nette attribuable aux actionnaires de 4,0 millions $ (résultat net attribuable aux actionnaires de 26,6 millions $).
  • Perte nette ajustée3 de 3,0 millions $ (résultat net ajusté3 de 26,9 millions $).

Pour la période de neuf mois :

  • Revenus de 2,3 milliards $ (2,3 milliards $ en 2017).
  • Perte d’exploitation de 62,5 millions $ (24,8 millions $).
  • Perte d’exploitation ajustée1 de 19,4 millions $ (résultat d’exploitation ajusté1 de 23,5 millions $).
  • Perte nette attribuable aux actionnaires de 3,9 millions $ (13,8 millions $).
  • Perte nette ajustée3 de 41,4 millions $ (17,3 millions $).
  • Vente de la filiale Jonview Canada Inc. pour 48,9 millions $ le 30 novembre 2017.

MONTRÉAL, le 13 sept. 2018 /CNW Telbec/ – Transat A.T. inc., l’une des plus grandes entreprises de tourisme intégrées au monde et le chef de file de l’industrie des voyages vacances au Canada, annonce ses résultats du troisième trimestre terminé le 31 juillet 2018.

« Comme la plupart de nos concurrents, nous subissons l’effet de la hausse du carburant, qui vient affecter nos résultats d’été, ainsi que nous l’anticipions dès la mi-juin. Les prix prennent toujours un certain temps pour s’ajuster. Nous sommes toujours confiants dans notre capacité à atteindre nos cibles à long terme, alors qu’Air Transat vient d’être désignée meilleure ligne aérienne loisir au monde par Skytrax. », a déclaré Jean-Marc Eustache, président et chef de la direction de Transat.

« Nous avons ouvert ce trimestre le siège de notre division hôtelière à Miami et avons identifié plusieurs opportunités intéressantes, dont certaines devraient se concrétiser prochainement. »

Faits saillants du troisième trimestre

La Société a enregistré des revenus de 696,6 millions $, par rapport à 733,2 millions $ en 2017, une diminution de 36,6 millions $ ou 5,0 %. Les revenus de 2017 incluaient 77,0 millions $ pour la filiale Jonview qui a été vendue en novembre dernier. Par ailleurs, le nombre de voyageurs était en hausse de 11,5 % sur le marché transatlantique, le principal marché de la Société pour cette période, alors que la capacité était en hausse de 13,9 %. Le nombre de voyageurs était en hausse de 7,9 % sur le marché des destinations soleil alors que la capacité était en hausse de 7,0 %. Les prix de vente moyens sont demeurés similaires à ceux de 2017 sur l’ensemble des marchés.

Les activités se sont soldées par un résultat d’exploitation ajusté1 de 5,1 millions $, comparativement à 59,1 millions $ en 2017. Cette diminution de 53,9 millions $ découle principalement de la hausse des coûts du carburant qui, combinée à l’effet de change, a entraîné une augmentation des charges d’exploitation de 40,3 millions $. De plus, le résultat d’exploitation ajusté1 du troisième trimestre de 2017 incluait 7,1 millions $ provenant des activités de sociétés vendues depuis.

À périmètre comparable, en excluant les sociétés vendues récemment (Ocean Hotels et Jonview), le résultat d’exploitation ajusté1 s’est détérioré de 46,8 millions $ par rapport à l’année précédente.

La perte nette attribuable aux actionnaires s’est établie à 4,0 millions $, soit 0,11 $ par action (diluée), par rapport à un résultat net de 26,6 millions $, soit 0,72 $ par action (dilué) en 2017. Excluant les éléments non liés à l’exploitation, Transat affiche une perte nette ajustée3 de 3,0 millions $ (0,08 $ par action) pour le troisième trimestre de 2018, comparativement à un résultat net ajusté3 de 26,9 millions $ (0,73 $ par action) en 2017.

Faits saillants de la période de neuf mois

La Société a enregistré des revenus de 2,3 milliards $, en hausse de 0,8 % comparativement à 2017. Durant la saison d’hiver, le nombre de voyageurs a progressé de 5,4 % sur le marché des destinations soleil, le principal marché de la Société durant cette période. Les prix de vente moyens ont légèrement augmenté sur l’ensemble des marchés. Au cours du troisième trimestre, le nombre de voyageurs a progressé de 11,5 % sur le marché transatlantique, le principal marché de la Société durant cette période et les prix de vente moyens sont demeurés similaires à ceux de 2017 sur l’ensemble des marchés. Ces augmentations des revenus ont compensé la perte du revenu de la filiale Jonview vendue en novembre 2017.

Les activités se sont soldées par une perte d’exploitation ajustée1 de 19,4 millions $, par rapport à un résultat d’exploitation ajusté1 de 23,5 millions $ en 2017, soit une diminution de 42,9 millions $. Durant la saison d’hiver, le résultat d’exploitation ajusté1 s’est amélioré de 11,0 millions $. Au troisième trimestre, la diminution du résultat d’exploitation ajusté1 découle principalement de la hausse des coûts du carburant qui, combinée à l’effet de change, a entraîné une augmentation des charges d’exploitation de 40,3 millions $. De plus, le résultat d’exploitation ajusté1 du troisième trimestre 2017 incluait 7,1 millions $ provenant des activités de sociétés vendues récemment.

À périmètre comparable, en excluant les sociétés vendues récemment (Ocean Hotels et Jonview), le résultat d’exploitation ajusté1 a été réduit de 30,2 millions $ par rapport à l’année précédente.

Après neuf mois, la perte nette attribuable aux actionnaires s’établissait à 3,9 millions $, soit 0,11 $ par action (de base et diluée), par rapport à 13,8 millions $, soit 0,37 $ par action (diluée) lors de la période de neuf mois correspondante en 2017. Excluant les éléments non liés à l’exploitation, Transat affiche une perte nette ajustée3 de 41,4 millions $ (1,11 $ par action) pour la période terminée le 31 juillet 2018, par rapport à 17,3 millions $ (0,47 $ par action) en 2017.

Vente de Jonview Canada Inc.

Le 30 novembre 2017, la Société a conclu la vente de sa filiale Jonview, qui exploite des activités de voyagiste réceptif au Canada, à la multinationale japonaise H.I.S. Co. Ltd., spécialisée dans la distribution de voyages. Le prix de vente a été de 48,9 millions $ et la Société a enregistré un gain sur cession d’entreprise de 31,3 millions $.

Situation financière

Au 31 juillet 2018, la trésorerie et les équivalents de trésorerie s’établissaient à 867,2 millions $, par rapport à 580,7 millions $ à pareille date en 2017, l’augmentation de 286,5 millions $ découlant principalement du produit de la cession des entreprises Ocean Hotels et Jonview, ainsi que des flux de trésorerie positifs générés par les activités opérationnelles. Le ratio de fonds de roulement était de 1,40, par rapport à 1,26 au 31 juillet 2017. Les dépôts reçus des clients pour des voyages à venir s’établissaient à 561,8 millions $, par rapport à 509,9 millions $ au 31 juillet 2017, l’augmentation de 51,8 millions $ étant attribuable à la hausse du volume des activités.

Les ententes hors bilan, excluant les ententes avec les fournisseurs de services, représentaient 2 368,5 millions $ au 31 juillet 2018, par rapport à 1 745,2 millions $ au 31 octobre 2017. L’augmentation de 623,2 millions $ découle principalement des ententes signées durant le trimestre pour la location de deux Airbus A321neo et cinq Airbus A321neo LR, dont la livraison s’échelonnera de 2020 à 2022. Ces appareils remplaceront notamment des gros porteurs Airbus A330 dont les baux arriveront à terme. De plus, durant le premier trimestre, la Société a conclu des ententes pour la location de deux Airbus A321ceo et deux Airbus A330. L’augmentation découlant de ces nouvelles ententes a été partiellement atténuée par les remboursements effectués durant la période.

Perspectives

Quatrième trimestre 2018 – Le marché transatlantique, au départ du Canada et de l’Europe, représente une portion très importante de l’activité de Transat durant la saison d’été. Pour la période d’août à octobre 2018, la capacité de la Société est supérieure de 14 %. À ce jour, 84 % de cette capacité est vendue, les coefficients d’occupation sont supérieurs de 1,1 % à ceux de l’été 2017 et les prix des réservations prises sont inférieurs de 2,7 % à ceux enregistrés à pareille date en 2017. L’impact de la hausse du coût du carburant, combinée à la variation des devises, entraînera une hausse des charges opérationnelles de 7,3 % si le coût du carburant d’aéronefs et le dollar en regard du dollar américain, de l’euro et de la livre demeurent stables. Pour rappel, le prix du carburant d’aéronef s’est apprécié de 11 %, entre le début du mois d’avril et la mi-juin.

Sur le marché des destinations soleil, où l’été représente la basse saison, 75 % de la capacité déployée est vendue. À ce jour, les marges unitaires sont inférieures de 7,2 % à celles enregistrées en 2017, en tenant compte de l’impact de la hausse du carburant.

En conséquence, et compte tenu de la hausse significative du coût du carburant d’aéronef, la Société prévoit au quatrième trimestre des résultats globaux inférieurs à ceux de l’an dernier.

Hiver 2019 – Sur le marché des destinations soleil, le principal marché de la Société durant la saison d’hiver, la capacité de Transat est supérieure de 3 % à celle déployée à la même date l’an passé. À ce jour, 25 % de cette capacité est vendue et les coefficients d’occupation sont supérieurs de 2,7 % par rapport à 2018. L’impact de la hausse du coût du carburant, combinée à la variation du dollar canadien, entraînera une hausse des charges opérationnelles de 3,4 % si le coût du carburant d’aéronefs et le dollar en regard du dollar américain, demeurent stables.

La Société estime qu’il est encore trop tôt pour donner quelque indication concernant les résultats de la saison d’hiver, d’autant plus que la comparaison s’effectue avec une période de 2017 située avant le déclenchement des ouragans, qui ont eu un impact considérable sur la suite de la saison.

Avancée du plan stratégique

Les neufs premiers mois de l’année auront permis de faire avancer de manière significative la mise en place du plan stratégique 2018-2022, même si ces éléments ont peu d’impact sur l’année en cours. Le plan s’articule sur deux axes principaux : l’amélioration opérationnelle des activités existantes d’une part et le lancement d’une activité hôtelière d’autre part.
Du côté des activités existantes, de nombreux changements sont intervenus pour préparer les années à venir.

  • Les activités de gestion du revenu, de la tarification et de planification du réseau auront été reconfigurées entièrement au cours de l’année, ce qui permet une gestion beaucoup plus fine du revenu par vol et permettra de maximiser les marges ;
  • Une gestion à plus long terme du réseau se met également en place afin notamment d’exploiter au mieux la nouvelle flotte Airbus de la Société, qui se déploiera entre 2019 et 2022 et permettra une diminution des coûts d’exploitation et une densification de nos routes ;
  • L’extension de l’empreinte digitale se poursuit, et a été reconnue par l’obtention de la Flèche d’or de la meilleure expérience client dans la catégorie Tourisme, loisirs et divertissement ;
  • Les initiatives de réduction des coûts et d’amélioration des marges se poursuivent et devraient atteindre leur objectif de 150 millions de dollars pour l’ensemble du plan ;
  • Les efforts d’augmentation de la satisfaction clients ont été salués par la désignation d’Air Transat comme meilleure ligne aérienne loisirs au monde par Skytrax.

Le lancement de l’activité hôtelière a également connu de nombreuses avancées cette année, avec le recrutement du président de l’activité, l’ouverture du siège de la division à Miami et une prospection intense qui devrait permettre à la Société de procéder à des acquisitions de terrains et/ou d’hôtels prochainement.

Informations supplémentaires

Les résultats ont subi l’incidence d’éléments non liés à l’exploitation résumés dans le tableau suivant : 

 

Faits saillants et impacts des éléments non liés à l’exploitation sur les résultats

(En milliers de CAD)

Troisième trimestre

Neuf premiers mois

2018

2017

2018

2017

Revenus

696 551

733 152

2 324 314

2 306 794

Résultat d’exploitation

(7 994)

40 952

(62 536)

(24 780)

Charge de restructuration

1 350

1 350

Amortissement

13 215

18 077

43 294

49 435

Primes liées aux dérivés arrivés à échéance au cours de la période

(130)

(1 324)

(130)

(2 521)

Résultat d’exploitation ajusté1

5 091

59 055

(19 372)

23 484

Résultat avant charge d’impôts

(4 754)

37 731

(10 621)

(18 996)

Charge de restructuration

1 350

1 350

Dérivés liés au carburant et autres dérivés

1 512

341

(9 069)

(3 533)

Gain sur cession d’entreprises

(31 064)

Primes liées aux dérivés arrivés à échéance au cours de la période

(130)

(1 324)

(130)

(2 521)

Résultat ajusté avant charge d’impôts2

(3 372)

38 098

(50 884)

(23 700)

Résultat net attribuable aux actionnaires

(4 038)

26 588

(3 943)

(13 839)

Charge de restructuration

988

988

Dérivés liés au carburant et autres dérivés

1 107

250

(6 668)

(2 586)

Gain sur cession d’entreprises

(30 736)

Primes liées aux dérivés arrivés à échéance au cours de la période

(95)

(969)

(95)

(1 845)

Résultat net ajusté3

(3 026)

26 857

(41 442)

(17 282)

Résultat dilué par action

(0,11)

0,72

(0,11)

(0,37)

Charge de restructuration

0,03

0,03

Dérivés liés au carburant et autres dérivés

0,03

0,01

(0,18)

(0,07)

Gain sur cession d’entreprises

(0,82)

Primes liées aux dérivés arrivés à échéance au cours de la période

(0,03)

(0,05)

Résultat net ajusté par action3

(0,08)

0,73

(1,11)

(0,47)

 

Comptabilité de couverture – La Société enregistre à l’état des résultats les gains ou les pertes résultant de l’évaluation à la juste valeur des instruments financiers dérivés qu’elle utilise pour gérer le risque lié aux fluctuations du prix du carburant d’aéronefs, ainsi que les gains ou les pertes résultant de l’évaluation à la juste valeur de certains instruments financiers dérivés qu’elle utilise pour gérer le risque lié aux fluctuations de taux de change. Au troisième trimestre de 2018, ceci s’est traduit par une perte hors trésorerie de 1,5 million $ (1,1 million $ après impôts), par rapport à 0,3 million $ (0,3 million $ après impôts) en 2017. Pour la période de neuf mois, ceci s’est traduit par un gain hors trésorerie de 9,1 millions $ (6,7 millions $ après impôts), par rapport à 3,5 millions $ (2,6 millions $ après impôts) en 2017.

La Société utilise au besoin des instruments financiers dérivés pour se protéger des fluctuations du taux de change sur ses charges et/ou ses revenus en devises étrangères. À cet égard, sur la base des normes comptables applicables, les fluctuations résultant de la portion efficace de l’évaluation à la juste valeur de ces instruments qui sont désignés comme instruments de couverture sont comptabilisées à l’état de la situation financière consolidé et à l’état du résultat global consolidé, et non à l’état des résultats consolidé. Au troisième trimestre de 2018, Transat enregistre une perte de 2,8 millions $ (2,0 millions $ après impôts) sur ces dérivés de change, par rapport à 23,8 millions $ (17,4 millions $ après impôts) en 2017. Pour la période de neuf mois, Transat enregistre une perte de 3,9 millions $ (2,9 millions $ après impôts) sur ces dérivés de change, par rapport à 18,1 millions $ (13,2 millions $ après impôts) en 2017.

À propos de Transat
Transat A.T. inc. est une grande entreprise de tourisme international intégrée spécialisée dans le voyage vacances. Proposant des forfaits vacances, des séjours hôteliers et des liaisons aériennes sous les marques Transat et Air Transat, l’entreprise est présente dans une soixantaine de destinations dans 26 pays en Amérique, en Europe et au Proche-Orient. Elle compte 5 000 employés, et son siège social est situé à Montréal. Très engagée dans le développement durable de l’industrie touristique, Transat multiplie les initiatives en matière de responsabilité d’entreprise depuis 10 ans et a obtenu le statut de Partenaire Travelife en 2016 (TSX : TRZ).

NOTES

Les éléments suivants sont des mesures financières non normalisées selon les IFRS, utilisées par la direction comme indicateurs pour évaluer la performance opérationnelle continue et la performance opérationnelle récurrente.

  1. Résultat d’exploitation ajusté (perte d’exploitation ajustée) : Résultat d’exploitation (perte d’exploitation) avant charge d’amortissement, charge de restructuration et autres éléments inhabituels importants et incluant les primes relatives aux dérivés liés au carburant et autres dérivés arrivés à échéance au cours de la période. La Société utilise cette mesure pour évaluer le rendement opérationnel de ses activités avant les facteurs mentionnés précédemment, afin d’assurer une meilleure comparabilité des résultats financiers.
  2. Résultat ajusté (perte ajustée) avant charge d’impôts : Résultat avant charge d’impôt (perte avant charge d’impôts) avant variation de la juste valeur des dérivés liés au carburant et autres dérivés, gain (perte) à la cession d’entreprises, charge de restructuration, dépréciation d’actifs et autres éléments inhabituels importants et incluant les primes relatives aux dérivés liés au carburant et autres dérivés arrivés à échéance au cours de la période. La Société utilise cette mesure pour évaluer le rendement financier de ses activités avant les facteurs mentionnés précédemment, afin d’assurer une meilleure comparabilité des résultats financiers.
  3. Résultat net ajusté (perte nette ajustée) : Résultat net (perte nette) attribuable aux actionnaires avant résultat net lié aux activités abandonnées, variation de la juste valeur des dérivés liés au carburant et autres dérivés, gain (perte) à la cession d’entreprises, charge de restructuration, dépréciation d’actifs et autres éléments inhabituels importants et incluant les primes relatives aux dérivés liés au carburant et autres dérivés arrivés à échéance au cours de la période, net des impôts y afférents. La Société utilise cette mesure pour évaluer le rendement financier de ses activités avant les facteurs mentionnés précédemment, afin d’assurer une meilleure comparabilité des résultats financiers. Le résultat net ajusté est également utilisé dans le calcul de la rémunération variable des employés et des membres de la haute direction.

Conférence téléphonique

Conférence téléphonique pour le troisième trimestre de 2018 : le jeudi 13 septembre à 10h00. Composez le 1-800-926-9801. Nom de la conférence : Transat. Diffusion Web sur www.transat.com. L’appel sera disponible pour réécoute jusqu’au 13 octobre 2018 au 1-800-558-5253, code d’accès 21881421.

Mesures financières non normalisées selon les IFRS

Les états financiers sont dressés conformément aux Normes internationales d’information financière (« IFRS »). Dans le communiqué de presse, la Société présente parfois des mesures financières non normalisées selon les IFRS. Ces mesures n’ont pas de sens prescrit par les IFRS, et il est donc peu probable que l’on puisse les comparer avec des mesures du même type présentées par d’autres émetteurs. Elles ont pour objet d’apporter de l’information supplémentaire et ne devraient pas remplacer d’autres mesures du rendement préparées en vertu des IFRS. Tous les montants sont exprimés en dollars canadiens, à moins d’indication contraire.

Avertissement en ce qui concerne les déclarations prospectives

Le présent communiqué de presse contient certaines déclarations prospectives à l’égard de la Société à l’effet que les réservations se poursuivront selon les tendances indiquées. En faisant ces déclarations, la Société a supposé que les tendances des réservations et des prix de vente se maintiendront, et que les coûts, les prix du carburant et la valeur du dollar par rapport aux devises étrangères demeureront stables. Si ces hypothèses se révèlent incorrectes, les résultats réels et les faits nouveaux pourront différer considérablement de ceux envisagés dans les déclarations prospectives contenues dans ce communiqué de presse. Les résultats qui y sont présentés peuvent donc différer sensiblement des résultats réels pour diverses raisons comprenant, sans toutefois s’y limiter, la conjoncture économique, l’évolution de la demande compte tenu de la saisonnalité des opérations, les conditions météorologiques extrêmes, les désastres climatiques ou géologiques, la guerre, l’instabilité politique, le terrorisme réel ou appréhendé, l’éclosion d’épidémies ou de maladies, les préférences des consommateurs et leurs habitudes de consommation, la perception des consommateurs à l’égard de la sécurité des services à destination et de la sécurité aérienne, les tendances démographiques, les perturbations du système de contrôle de la circulation aérienne, le coût des mesures portant sur la protection, la sécurité et l’environnement, la concurrence, la capacité de la Société de préserver et de faire croître sa réputation et sa marque, la disponibilité du financement dans le futur, les fluctuations des prix du carburant et des taux de change et d’intérêt, la dépendance de la Société envers des fournisseurs clés, la disponibilité et la fluctuation des coûts liés à nos aéronefs, les technologies de l’information et les télécommunications, l’évolution de la législation, des développements ou procédures réglementaires défavorables, les litiges en cours et les poursuites intentées par des tiers, la capacité de réduire les coûts d’exploitation, la capacité de la Société d’attirer et de conserver des ressources compétentes, les relations de travail, les négociations des conventions collectives et les conflits de travail, les questions de retraite, le maintien d’une couverture d’assurance à des niveaux et conditions favorables et à un coût acceptable, ainsi que d’autres risques expliqués en détail de temps à autre dans les documents d’information de la Société.

En soi, ces déclarations prospectives comportent des risques et des incertitudes qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent grandement de ceux envisagés dans ces déclarations prospectives. La Société considère que les hypothèses sur lesquelles s’appuient ces déclarations prospectives sont raisonnables, mais le lecteur doit se rappeler que ces hypothèses à l’égard d’événements futurs, dont bon nombre sont indépendants de sa volonté, pourraient se révéler incorrectes, puisqu’elles sont soumises à des risques et à des incertitudes qui touchent ses activités. Pour plus de détails au sujet de ces facteurs et d’autres éléments, voir le rapport de gestion pour l’exercice terminé le 31 octobre 2017 déposé auprès des commissions de valeurs mobilières canadiennes. La Société décline toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser toutes déclarations prospectives, que ce soit à la suite de nouvelles informations, d’événements futurs ou autrement, à l’exception de ce qui est exigé par les lois sur les valeurs mobilières applicables.

www.transat.com

>>> Suivez-nous sur Facebook et Twitter

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *