Les options de Bombardier pour le CRJ
Est-ce que la production du CRJ a un futur dans la région de Montréal? Nous tenterons de répondre à la question lors de l’émission Les Ailes du Québec vendredi à 11h30 sur diosmediaplus.com.
Nous examinerons également les différentes options stratégiques de Bombardier pour le futur du CRJ.
Voici également l’horaire des reprises de l’émission:
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Les Américains sont en train de nous battre sur tout les fronts économiques. Keystone XL annulé = pétrole à fort rabais pour eux d’ici plusieurs années, au genoux devant Boeing qui pourchassent l’industrie aéronautique d’ici, le cadeau du CSeries à Airbus. Tarifs sur l’acier et l’aluminium, le bois d’œuvre, l’industrie laitière au profit de l’industrie automobile de l’Ontario. Cependant General Motors ayant profité gros de notre argent (9 milliards ou plus) et l’argent des américains (10 ou 20 milliards) en 2009 connais aujourd’hui un essor phénoménale et se fait redoré son image corporatif et a conservé son siège sociale à Détroit et les emplois américain et ontariens. Quelque chose fait pour eux qu’on n’a plus les couilles pour faire ici pour nous. Boeing profite d’un méga contrat pour le nouveau Air Force One, les contrats hyper lucratif de l’armée américain, la banque Boeing, les institutions de finance penché sur Boeing, les crédits d’impôts. Cependant les institutions financier que gère la côte de crédit comme Moody’s ne sont pas tendre envers nos entreprises qui paie de l’intérêts au taux dérisoires. En fait, nous devenons des colonisé économique des entreprises outre mer, des décennies de courage et de travail glissent entre nos doigts comme du sable. Tant qu’être colonisé aussi bien de questionné la pertinence de nos institutions et de notre lourde fardeau fiscale dans de tel circonstances tant au niveau fédérale que provinciale, les dédoublements et cacophonie constitutionnel et la largesse de l’Ontario qui profite d’un boucle d’impôt et fort privilégié par la largesse de nos crown corporations, les institutions fédéraux et le reste. Est-ce que tout les canadiens doivent déménager en Ontario pour en profité? De quoi sert tout ça quand nous devenons des colonisé économiques, vidé de sièges sociaux dans le contexte d’un monde compétitif sur non seulement la fiscalité là ou un président américain révolutionnaire tire le tapis sous nos pieds. Heureusement on a un nouveau parti au pouvoir à Québec, peut-être Legault sera capable de tenir debout face à non-seulement Trump, mais Ottawa et les PDG (Alain Bellemare et cie) dont nous avons le droit que questionner leur éthique et la transparence d’une entreprise côté sur la bourse.
Vous aller être déçu par M. Legault. On voit déjà se dessiner sa philosophie qui ressemble à celle des libéraux: « Exercer le pouvoir. »
Parlant d’espoirs, rappelons-nous le 15 novembre 1976, il y a 42 ans. Tous les espoirs semblaient permis. Qui aurait cru qu’en 2018, le rêve souverainiste se serait évanoui, sciemment noyé dans l’immigration… Et que nos débats de société porteraient sur l’islamophobie et les signes religieux ostentatoires.
Game Over.
La politique est un truc qui n’a pas de limite de temps. Ce n’est pas game over.
Quand un petit pays signe un traité de libre échange avec un pays beaucoup plus gros que lui et bien, le petit pays ce fera fourré sur le long terme parce qu’il y aura un phénomène de concentration de moyens de production dans le gros pays parce que les industriels iront presque toujours dans le gros pays pour éviter les représailles économique tel que l’on a vu dernièrement. Trudeau a négocié à genou parce que l’économie canadienne est maintenant très dépendante de l’économie états-unienne. Le Canada en fait n’existe plus.
PS: Ce dernier traité n’en est pas un de libre échange mais un d’unification nord-américaine. Maintenant, le banque du Canada et l’équivalent mexicain sont tenu de protéger le dollar américain et plus tard le dollar nord-américain.
L’action de Bombardier est tombée en dessous de 2 dollars.
Il y a des rumeurs certains hauts gestionnaires de Bombardier vont quitter l’entreprise.
C’est quoi ce bordel ?
Un investisseur expérimenté et agressif choisirait le moment présent pour acheter des action de Bombardier. À moins de croire que Bombardier s’en va vers la faillite, le bon temps pour acheter est lorsque le titre est dégonflé et que les sentiments sont négatifs. Warrent Buffet est devenu milliardaire avec cette approche. Mais ce n’est pas évident d’avoir le cran de le faire!
Bernard P….Et oui, ta pas mal raison. Vendredi 16 nov. fermer à 1,67$ et vendredi 23 nov. fermer à 2,40$ et pendant cette séance sa monter à 2,57$. Mais faut être prudent et envisager que sa peu aller vite et aussi sa peu prendre du temps pour un retour sur son investissement boursier. Autrement dit faut pas avoir besoin de cette investissement en bourse pour faire son épicerie à chaque semaine. Si on y mais le temps voulu pour que le plan de redressement 2015/2020 produise ces effets projetés ou escomptés par la direction, sa devrait bien aller. Mais la bourse avec ces périodes spéculatives est un risque qui doit être bien compris avant de si lancer. Si lancer a tête baisser c’est surement pas une bonne stratégie je crois.