L’ÉNA est la plus grande école d’aérotechnique au monde
Après plus de 50 ans, l’École nationale d’Aérotechnique (l’ÉNA) fait partie intégrante de la grappe aérospatiale québécoise. Tout au long de son existence, elle a formé plusieurs dizaines de milliers d’hommes et de femmes. Elle s’est agrandie au fil du temps de sorte que ses installations sont maintenant évaluées à 110 M$.
L’ÉNA accueille de plus en plus de visiteurs et d’étudiants de partout sur la planète. Ceux qui ont visité les autres grandes écoles d’aérotechnique le confirment : LÉNA est la plus grande de toutes. Sa capacité de 1 300 places au régulier et de 300 à la formation continue justifie à elle seule son titre. En Amérique du Nord, c’est la seule institution publique de formation en aéronautique. Elle est aussi un des rares centre de formation en aéronautique autorisé par l’Aviation Royale Canadienne.
C’est aussi l’école qui compte la plus grande collection d’aéronefs avec 38 : dont un A220-100, deux Challenger, deux Learjet, un Dormier 228 et 11 hélicoptères. À cela s’ajoutent plusieurs moteurs de la gamme PT-6 et le premier PW1524G qui a servi à la certification. L’institution dispose également d’un banc d’essai réel et virtuel, d’une soufflerie ainsi que d’un simulateur.
La qualité de la main-d’œuvre
Le rôle d’une institution comme l’ÉNA est de donner les compétences de base à ses étudiants. Une fois sur le marché du travail, l’apprentissage passe de la théorie à la pratique. C’est à ce moment-là que d’avoir d’excellentes notions de base est essentiel au développement des compétences.
En aérospatiale, la main-d’œuvre québécoise est reconnue mondialement pour sa qualité et sa précision. Qu’ils soient à l’emploi d’Airbus, Bombardier, d’Héroux-Devtek, Rolls-Royce ou Pratt & Whitney, les professionnels (les) de cette industrie ont tous un grand souci du détail et de la précision. L’ÉNA est le point commun qui relie toutes ces personnes elle.
Maintenant et dans le futur
À l’heure actuelle, 950 personnes suivent un des différents programmes offerts par l’ÉNA, cliquez ici pour voir la liste. Le développement à l’international est donc une solution afin de remplir sa capacité excédentaire. Cet effort doit se faire alors que la pénurie de main-d’œuvre en aérospatiale se mondialise. Qui sait, peut-être qu’un jour l’ÉNA deviendra un maillon important au niveau mondial.
Notez qu’une journée portes ouvertes aura lieu le 14 novembre prochain, cliquez ici pour plus d’information
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J’aimerais connaître la proportion d’étudiants étrangers à l’ÉNA.
Je n’ai pas la statistique exacte et il faudra attendre à demain avant d’avoir la réponse.
Bonne question ? Quelle est la proportion d’étudiants étrangers à l’ÉNA ?