Entente de principe entre Unifor et Bombardier
Les sections locales 112 et 673 d’Unifor et Bombardier sont parvenues à une entente de principe. Les quelques 1461 membres des deux sections locales à l’emploi de Bombardier se prononceront demain sur l’entente. La réunion virtuelle se teindra dès 13 h et sera suivie d’un vote. Si l’entente de principe est ratifiée, le travail reprendrait dimanche soir à 18 h.
Bombardier se dit heureuse de ce dénouement et souligne le professionnalisme dont ont fait preuve les équipes de négociation de Bombardier et d’Unifor.
La grève aura donc été de courte durée, la production du Global 7500 ne sera pas affectée. C’est un dénouement positif et il est à souhaiter qu’il en soit de même pour De Havilland.
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Un *bouquet de fleurs* Ontarien pour Bombardier/Éric Martel. Merci au chroniqueur d’affaires David Olive basé à Toronto, d’avoir produit une analyse sans parti pris sur les changements en cours chez l’avionneur Québécois. …http://thestar.com/business/opinion/2021/07/29/after-years-of-failed-promises-and-near-death-experiences-bombardier-is-flying-high-under-ceo-ric-martel.html
Bof, Martel fait bien mais n’a fait que terminer ce que Bellemare avait complété à 90%…
Faut quand même reconnaître que l’analyse d’A.Bellemare pour sauver l’avionneur de la faillite ou d’une vente de feu s’avère aujourd’hui avoir été selon toute vraisemblance le bon choix. Il était bien payer oui, mais il a bien fait la job pour sauver la compagnie et ses milliers d’emplois. Quelques milliers d’autres l’ont perdu, mais faudrait plutôt poser la question à celui qui était en fonction entre 2008 et février 2015.
Par contre Martel gère beaucoup mieux les attentes, au lieu de donner des cibles ambitieuses rarement atteintes, il met la barre a un seuil réalisable et touche les cibles, ainsi les investisseurs retrouveront plus facilement confiance si les résultats deviennent prévisibles.
Facile de mettre la barre à un seuil réalisable dans cette situation “post-covid”
@ James
Allez dire ça a Boeing pour voir. 😉
C’était tout aussi facile avant, suffisait de mettre la barre moins haute.
Bizarrement, si tu annonce que tu vas en livrer 50 et que tu en livre 45, tu es un zéro, mais si tu annonce 40 et en livre 45, tu es un bon gestionnaire qui atteint les objectifs.
Tom Laflamme …Bien dit.