Histoire

Vendredi: j’ai la nostalgie du Concorde

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Le 4 octobre 1975, j’ai assisté à l’inauguration de l’aéroport de Mirabel. Le clou de cet événement était le Concorde qui était accessible au public. 45 ans plus tard, j’ai eu le plaisir de revoir le plus bel avion de ligne au musée Aeroscopia de Toulouse.

 

Tout comme en 1975, j’ai marché sous son imposante voilure et je sous toujours impressionné. Aeroscopia a deux Concordes en exposition; un qui a été exploité par Air France et l’autre est le premier prototype qui a servi pour les essais en vol. J’ai pris quelques photos de l’intérieur du prototype. En ce vendredi nostalgique, je vous présente les images de l’intérieur du premier Concorde. Cette semaine, cela fait plus de 16 ans qu’il a effectué son dernier vol commercial.

Concorde nostalgie
L’allée vers le poste de pilotage
La nostalgie du Concorde
La section servant à la collecte et l’enregistrement des des données

 

La nostalgie du Concorde
La console de suivi des paramètres de vol
Ordinateur du début des années 70
La nostalgie du Concorde
Des imprimantes dernier cri
La nostalgie du Concorde
Concorde: une autre vue sur la section de collecte des données
La nostalgie du Concorde
Concorde: la cabine
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7 avis sur “Vendredi: j’ai la nostalgie du Concorde

  • Pascal

    J’ai fait un stage à AirFrance à Toulouse en 1995, pendant 2 mois. Pour les Français Concorde c’est un icône. D’ailleurs ils ne disent jamais « Le Concorde » mais juste « Concorde » comme si c’était une personne! Tu es chanceux d’avoir visité l’intérieur de Concorde!

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  • Gilbair

    Je suis monté à bord du Concorde à deux reprises. La première fois à YMX lors de la venue du Concorde d’Air France dans le cadre de la loterie La Grande Traversée, organisée dans la cadre de Québec 84. J’avais réussi à avoir des laissez-passer d’Air France pour notre groupe, le défunt Club d’Aviation de Ligne de Montréal.

    La deuxième fois, c’était en 2004 lors de mon passage à Toulouse, donc le même avion dont on voit les photos plus haut. Dans les deux cas, deux choses m’avaient surpris: le sentiment d’étouffement par le fait que le fuselage est très étroit et la petitesse des hublots. Mais bon sang que j’aurais aimé prendre place à bord pour une traversée et voir la courbure de la Terre à une altitude de 60,000 pieds.

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  • C’est la première fois que je vois des photos de l’intérieur du prototype. C’est très intéressant de voir la technologie des années 60. Je préfère de loin les cadrans de type « steam gauge » de l’époque aux écrans contemporains sans âme. Je dois cependant avouer que je trouve le cockpit du CSeries pas mal sexy!

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