Bombardier nomme Sam Abdelmalek au poste de chef de la direction de la transformation et de la chaîne d’approvisionnement
Bombardier (TSX: BBD.B) a annoncé aujourd’hui la nomination de Sam Abdelmalek au poste de chef de la direction de la transformation et de la chaîne d’approvisionnement, une nomination entrée en vigueur le 10 octobre 2018. Sam relèvera directement d’Alain Bellemare, président et chef de la direction, Bombardier Inc. À ce titre, il sera responsable de la transformation continue des activités de l’entreprise et dirigera celles de la chaîne d’approvisionnement pour réduire les coûts et améliorer l’efficacité et la qualité pour appuyer les objectifs de croissance de Bombardier.
« Nous sommes heureux d’accueillir Sam au sein de l’équipe de leadership de Bombardier, a dit Alain Bellemare. C’est un dirigeant solide et dynamique au parcours impressionnant en matière de création de valeur dans de grandes entreprises industrielles grâce à une gestion efficace de la chaîne d’approvisionnement et à une amélioration des processus. Sam collaborera étroitement avec moi et l’équipe de leadership pour accélérer notre transformation, améliorer notre position concurrentielle et appuyer nos objectifs de croissance à long terme. »
Sam apporte à Bombardier près de 30 ans d’expérience aéronautique et industrielle. Dernièrement, il occupait les fonctions de vice-président, Chaîne d’approvisionnement mondiale chez Pratt & Whitney. À ce poste, il était responsable de tous les aspects de la chaîne d’approvisionnement, y compris ceux de l’approvisionnement stratégique, la préparation industrielle, la logistique et le transport à l’échelle mondiale, ainsi que l’approvisionnement non lié aux produits. Il jouait aussi un rôle essentiel dans la supervision de la qualité des fournisseurs. Auparavant, il avait occupé plusieurs postes de haute direction chez United Technologies Corporation (UTC), dont celui de vice-président, Gestion de la chaîne d’approvisionnement de la division Aerospace Systems de UTC, et celui de vice-président, Gestion de l’approvisionnement mondial et intégration de la chaîne d’approvisionnement pour les activités de UTC.
Sam a entrepris sa carrière chez Bell Helicopter, puis chez Turbocor Inc., où il a occupé des postes aux responsabilités croissantes liées à l’ingénierie, à la fabrication, à la chaîne d’approvisionnement et à l’exploitation. Il est titulaire d’un baccalauréat en génie électrique de l’École Polytechnique de Montréal, et d’une maîtrise en administration des affaires de l’Université Concordia.
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André, je me demandais si cette nomination fera remonter la valeur de l’action. Tu conviendras avec moi que depuis le sommet du mois de juin, il y a eu plusieurs nominations et le titre subis encore de nombreux contres sauts.
Je me demande à quoi sert de publier ce genre d’info lorsque le titre ne cesse de plonger. Un peu de rigueur dans la diffusion de l’information à moins que ce soit la seule information disponible à être publier.
Je ne tient jamais compte de la valeur de l’action lorsque je publie, mais tu as bien raison de dire que c’est la seule information de disponible en ce moment.
Je comprend pas comment une nomination de cette nature peu avoir une influence négative sur les actions de bombardier en bourse ????. Quand on regarde sa formation et son cheminement professionnel je dirais que c’est plutôt de bonne augure pour la direction de bombardier.
Bonne chance à Sam Abdelmalek , un ancien de Polytechnique.
Le titre est monté à CA$ 5.43 en juillet 2018. Aujourd’hui il est a CA$ 3.92.
La chute est énorme. On se demande maintenant si le plan quinquennal lancé en 2015 fonctionne.
Est-ce qu’il y aura des licenciements bientôt ? Il faut bien faire plaisir au « marché ».
Le plan de redressement 2015 fin 2020. C’est en 2020 et surtout 2021+ qu’on pourra dire si le plan était le bon remède a appliquer à bombardier. Moi je crois que oui. Quand on regarde bien le rapport publier après chaque trimestre on peu voir du progrès de trimestre en trimestre vers une réussite du plan de redressement. Du moins c’est la lecture que j’en fait.
En étudiant les pics de vente des actions de Bombardier on observe qu’elles ont eu lieu à intervalles réguliers et par gros volumes.
Il semble que de gros actionnaires soient passés à la caisse juste après la conclusion de la vente à Airbus. Serait-ce les bonis en actions des directeurs qui ont été encaissés successivement ou bien les actions détenues par l’Arabie Saoudite ou encore une désaffection générale causé par la perte du vaisseau amiral ?
Toujours est-il que la grande majorité des analystes recommandent l’achat. Une aubaine à ce prix.