Bombardier vend sa division transport à Alstom
Ce n’était qu’une question de temps avant que l’annonce officielle soit faite. Voici donc le communiqué:
Bombardier annonce sa décision stratégique de se concentrer sur l’aviation d’affaires et son intention d’accélérer son désendettement par la vente de son secteur d’activité Transport à Alstom
Bombardier, un leader mondial de l’aviation d’affaires, est en bonne position pour rivaliser sur le marché des avions d’affaires
Alstom acquerra Bombardier Transport (BT) selon une valeur d’entreprise de 8,2 milliards $ (7,45 milliards €)
L’opération entraînera le retrait de la participation de la Caisse de dépôt et placement du Québec (« la Caisse ») dans BT. La Caisse deviendra le principal actionnaire d’Alstom
Après des ajustements pour tenir compte d’éléments de passif, déduction faite de l’encaisse de BT et de la participation de la Caisse, le produit net prévu de la vente de 4,2 milliards $ à 4,5 milliards $ permettra de remodeler la structure du capital
Clôture prévue au cours du premier semestre de 2021, sous réserve de l’obtention des approbations réglementaires usuelles
Les montants en euros sont convertis en dollars américains au taux de de change de 1 euro pour 1,1 dollar américain.
MONTRÉAL, 17 févr. 2020 (GLOBE NEWSWIRE) — Bombardier (TSX : BBD.B) a annoncé aujourd’hui qu’elle avait pris la décision stratégique de se concentrer exclusivement sur l’aviation d’affaires et planifie d’accélérer son désendettement par la vente de ses activités de transport sur rail.
« Un nouveau chapitre prometteur s’ouvre aujourd’hui pour Bombardier. Dorénavant, nous concentrerons tout notre capital, toute notre énergie et toutes nos ressources sur l’accélération de la croissance et l’expansion des marges de nos activités liées aux avions d’affaires, à l’avant-garde du marché, d’une valeur de 7,0 milliards $. Grâce à un bilan plus solide à la suite de la réalisation de cette opération, à un portefeuille de produits à l’avant-garde de l’industrie, à un carnet de commandes solide et à la croissance rapide des activités de service après-vente, nous serons en position de force pour livrer concurrence sur ce marché », a déclaré Alain Bellemare, président et chef de la direction, Bombardier Inc.
Aperçu de la vente de Bombardier Transport
Bombardier a signé un protocole d’entente avec Alstom SA et la Caisse de dépôt et placement du Québec (« la Caisse ») relativement à la vente de son secteur d’activité de transport sur rail à Alstom. En vertu de l’opération, Bombardier et la Caisse vendront leur participation dans BT à Alstom selon une valeur d’entreprise de 8,2 milliards $ (7,45 milliards €). Le produit total, déduction faite des éléments assimilables à la dette et du passif transféré, y compris les obligations au titre des avantages de retraite, et déduction faite de l’encaisse de BT, devrait s’élever à 6,4 milliards $, sous réserve d’ajustements à la hausse pouvant atteindre 440 millions $. Déduction faite de la position en capitaux propres de la Caisse se situant entre 2,1 milliards $ à 2,3 milliards $, Bombardier toucherait un produit net de 4,2 milliards $ à 4,5 milliards $, incluant 550 millions $ en actions d’Alstom pour un prix de souscription fixe de 47,50 €, pouvant être monétisées après une période de blocage de trois mois postérieure à la clôture sous réserve d’ajustements de clôture et d’indemnités et du taux de change de l’euro en dollar américain. Bombardier a l’intention d’affecter directement ce produit à la réduction de sa dette et évaluera les meilleures stratégies à cet effet.
L’opération souligne l’importante valeur créée au sein de BT depuis le début du redressement
« Vendre les activités de transport sur rail nous permettra de remodeler et de redéfinir notre structure du capital. L’ajout d’une somme considérable en espèces au bilan et le retrait de la participation en actions privilégiées de la Caisse dans Transport changeront la donne pour Bombardier, a poursuivi M. Bellemare. En tenant compte des produits prévus devant découler des opérations précédemment annoncées, Bombardier disposerait de 6,5 milliards $ à 7,0 milliards $ d’encaisse pro forma,(1) ce qui permettra à la Société de repartir sur de toutes nouvelles bases pour s’attaquer à sa dette de 9,3 milliards $. »
La signature du protocole d’entente a été approuvée à l’unanimité par les conseils d’administration respectifs de Bombardier et d’Alstom, et l’opération annoncée aujourd’hui bénéficie pleinement de l’appui de la Caisse, laquelle deviendra un nouvel actionnaire à long terme d’Alstom.
« Nous sommes convaincus que la vente de nos activités de transport sur rail à Alstom est la bonne chose à faire pour toutes les parties prenantes. En tant que société, sa mission d’entreprise d’offrir les solutions de mobilité les plus efficaces à l’échelle mondiale, son engagement en faveur de la technologie et l’attention qu’elle porte à la durabilité serviront bien nos clients. De plus, elle apprécie et accorde une grande valeur à nos technologies, à nos capacités. Par-dessus tout, elle reconnait le talent de nos employés et le travail remarquable qu’ils accomplissent. », a déclaré M. Bellemare.
À propos de Bombardier Aviation
Bombardier Aviation est une entreprise de 7,0 milliards $ (1), à l’avant-garde de marché, ayant fait ses preuves au chapitre des performances et ayant un plan précis pour croître, hausser ses marges et générer une solide trésorerie. Pendant plus de 30 ans, Bombardier a conçu, construit et entretenu l’une des plus grandes flottes en service d’avions d’affaires de l’histoire, laquelle compte aujourd’hui plus de 4 800 appareils. Elle est alimentée par un fier héritage, un engagement en faveur d’un service à la clientèle exceptionnel et plus de 18 000 employés(1) passionnés de talent.
Le nombre de livraisons d’avions d’affaires devrait augmenter de façon importante, en grande partie grâce à la catégorie des avions à grande cabine. Une croissance économique mondiale soutenue, la poursuite de l’expansion des modèles d’affaires de nolisement et de multipropriété ainsi qu’un cycle de remplacement des avions en service par des avions plus récents et plus efficaces sous-tendent cette croissance.
Bombardier, qui vient d’achever un important cycle d’investissements dans les produits, revendique offrir la meilleure gamme de produits d’avions de l’industrie. Son avion emblématique, le tout nouvel avion Global 7500, se démarque comme l’avion d’affaires le plus évolué, le plus spacieux et celui offrant la plus grande autonomie de l’industrie. En 2019, Bombardier a aussi mis en service les nouveaux avions Global 5500 et Global 6500, lesquels offrent des performances supérieures à celles promises. Le portefeuille d’avions de Bombardier Aviation, à l’avant-garde de l’industrie, comprend aussi les avions Challenger 350 et Challenger 650, les meilleurs vendeurs dans leur catégorie respective, de même que le nouvel appareil Learjet 75 Liberty. Avec un carnet de commandes totalisant 14,4 milliards $, soit le plus important de l’industrie, Bombardier est en très bonne position pour livrer concurrence avec succès, croître et créer de la valeur pour les actionnaires. En 2020, Bombardier Aviation prévoit livrer au moins 160 avions.
Bombardier poursuit son engagement en faveur d’un service à la clientèle exceptionnel, aBombardier annonce sa décision stratégique de se concentrer sur l’aviation d’affaires et son intention d’accélérer son désendettement par la vente de son secteur d’activité Transport à Alstom
Bombardier, un leader mondial de l’aviation d’affaires, est en bonne position pour rivaliser sur le marché des avions d’affaires
Alstom acquerra Bombardier Transport (BT) selon une valeur d’entreprise de 8,2 milliards $ (7,45 milliards €)
L’opération entraînera le retrait de la participation de la Caisse de dépôt et placement du Québec (« la Caisse ») dans BT. La Caisse deviendra le principal actionnaire d’Alstom
Après des ajustements pour tenir compte d’éléments de passif, déduction faite de l’encaisse de BT et de la participation de la Caisse, le produit net prévu de la vente de 4,2 milliards $ à 4,5 milliards $ permettra de remodeler la structure du capital
Clôture prévue au cours du premier semestre de 2021, sous réserve de l’obtention des approbations réglementaires usuelles
Les montants en euros sont convertis en dollars américains au taux de de change de 1 euro pour 1,1 dollar américain.
MONTRÉAL, 17 févr. 2020 (GLOBE NEWSWIRE) — Bombardier (TSX : BBD.B) a annoncé aujourd’hui qu’elle avait pris la décision stratégique de se concentrer exclusivement sur l’aviation d’affaires et planifie d’accélérer son désendettement par la vente de ses activités de transport sur rail.
« Un nouveau chapitre prometteur s’ouvre aujourd’hui pour Bombardier. Dorénavant, nous concentrerons tout notre capital, toute notre énergie et toutes nos ressources sur l’accélération de la croissance et l’expansion des marges de nos activités liées aux avions d’affaires, à l’avant-garde du marché, d’une valeur de 7,0 milliards $. Grâce à un bilan plus solide à la suite de la réalisation de cette opération, à un portefeuille de produits à l’avant-garde de l’industrie, à un carnet de commandes solide et à la croissance rapide des activités de service après-vente, nous serons en position de force pour livrer concurrence sur ce marché », a déclaré Alain Bellemare, président et chef de la direction, Bombardier Inc.
Aperçu de la vente de Bombardier Transport
Bombardier a signé un protocole d’entente avec Alstom SA et la Caisse de dépôt et placement du Québec (« la Caisse ») relativement à la vente de son secteur d’activité de transport sur rail à Alstom. En vertu de l’opération, Bombardier et la Caisse vendront leur participation dans BT à Alstom selon une valeur d’entreprise de 8,2 milliards $ (7,45 milliards €). Le produit total, déduction faite des éléments assimilables à la dette et du passif transféré, y compris les obligations au titre des avantages de retraite, et déduction faite de l’encaisse de BT, devrait s’élever à 6,4 milliards $, sous réserve d’ajustements à la hausse pouvant atteindre 440 millions $. Déduction faite de la position en capitaux propres de la Caisse se situant entre 2,1 milliards $ à 2,3 milliards $, Bombardier toucherait un produit net de 4,2 milliards $ à 4,5 milliards $, incluant 550 millions $ en actions d’Alstom pour un prix de souscription fixe de 47,50 €, pouvant être monétisées après une période de blocage de trois mois postérieure à la clôture sous réserve d’ajustements de clôture et d’indemnités et du taux de change de l’euro en dollar américain. Bombardier a l’intention d’affecter directement ce produit à la réduction de sa dette et évaluera les meilleures stratégies à cet effet.
L’opération souligne l’importante valeur créée au sein de BT depuis le début du redressement
« Vendre les activités de transport sur rail nous permettra de remodeler et de redéfinir notre structure du capital. L’ajout d’une somme considérable en espèces au bilan et le retrait de la participation en actions privilégiées de la Caisse dans Transport changeront la donne pour Bombardier, a poursuivi M. Bellemare. En tenant compte des produits prévus devant découler des opérations précédemment annoncées, Bombardier disposerait de 6,5 milliards $ à 7,0 milliards $ d’encaisse pro forma,(1) ce qui permettra à la Société de repartir sur de toutes nouvelles bases pour s’attaquer à sa dette de 9,3 milliards $. »
La signature du protocole d’entente a été approuvée à l’unanimité par les conseils d’administration respectifs de Bombardier et d’Alstom, et l’opération annoncée aujourd’hui bénéficie pleinement de l’appui de la Caisse, laquelle deviendra un nouvel actionnaire à long terme d’Alstom.
« Nous sommes convaincus que la vente de nos activités de transport sur rail à Alstom est la bonne chose à faire pour toutes les parties prenantes. En tant que société, sa mission d’entreprise d’offrir les solutions de mobilité les plus efficaces à l’échelle mondiale, son engagement en faveur de la technologie et l’attention qu’elle porte à la durabilité serviront bien nos clients. De plus, elle apprécie et accorde une grande valeur à nos technologies, à nos capacités. Par-dessus tout, elle reconnait le talent de nos employés et le travail remarquable qu’ils accomplissent. », a déclaré M. Bellemare.
À propos de Bombardier Aviation
Bombardier Aviation est une entreprise de 7,0 milliards $ (1), à l’avant-garde de marché, ayant fait ses preuves au chapitre des performances et ayant un plan précis pour croître, hausser ses marges et générer une solide trésorerie. Pendant plus de 30 ans, Bombardier a conçu, construit et entretenu l’une des plus grandes flottes en service d’avions d’affaires de l’histoire, laquelle compte aujourd’hui plus de 4 800 appareils. Elle est alimentée par un fier héritage, un engagement en faveur d’un service à la clientèle exceptionnel et plus de 18 000 employés(1) passionnés de talent.
Le nombre de livraisons d’avions d’affaires devrait augmenter de façon importante, en grande partie grâce à la catégorie des avions à grande cabine. Une croissance économique mondiale soutenue, la poursuite de l’expansion des modèles d’affaires de nolisement et de multipropriété ainsi qu’un cycle de remplacement des avions en service par des avions plus récents et plus efficaces sous-tendent cette croissance.
Bombardier, qui vient d’achever un important cycle d’investissements dans les produits, revendique offrir la meilleure gamme de produits d’avions de l’industrie. Son avion emblématique, le tout nouvel avion Global 7500, se démarque comme l’avion d’affaires le plus évolué, le plus spacieux et celui offrant la plus grande autonomie de l’industrie. En 2019, Bombardier a aussi mis en service les nouveaux avions Global 5500 et Global 6500, lesquels offrent des performances supérieures à celles promises. Le portefeuille d’avions de Bombardier Aviation, à l’avant-garde de l’industrie, comprend aussi les avions Challenger 350 et Challenger 650, les meilleurs vendeurs dans leur catégorie respective, de même que le nouvel appareil Learjet 75 Liberty. Avec un carnet de commandes totalisant 14,4 milliards $, soit le plus important de l’industrie, Bombardier est en très bonne position pour livrer concurrence avec succès, croître et créer de la valeur pour les actionnaires. En 2020, Bombardier Aviation prévoit livrer au moins 160 avions.
Bombardier poursuit son engagement en faveur d’un service à la clientèle exceptionnel, ayant annoncé d’importantes expansions de son réseau de service et de soutien. L’entreprise exécute actuellement ce plan de croissance au moyen de projets dans le monde entier, notamment au moyen de nouvelles installations plus grandes à Singapour, à Londres et à Miami.
Bombardier Aviation, dont le siège social est situé à Montréal, au Canada, exerce des activités d’envergure dans 16 pays de par le monde.
Protocole d’entente
En vertu des exigences prévues par les lois françaises, Alstom et Bombardier entreprendront des procédures d’information et de consultation avec les comités d’entreprise avant de signer les documents relatifs à l’opération. Par conséquent, et conformément à la pratique habituelle en France, Alstom, Bombardier et la Caisse ont conclu une entente de principe sur les principales modalités de l’opération et ont conclu un protocole d’entente avant l’annonce de l’opération proposée. Ce protocole d’entente prévoit de la part de Bombardier et de Alstom l’organisation du processus d’information et de consultation de leur comité d’entreprise respectif et contient des engagements exclusifs des deux parties. Ce processus devrait durer environ quatre à cinq mois.
Bombardier a retenu Citigroup Global Markets Inc. et UBS Investment Bank comme ses conseillers financiers et Norton Rose Fulbright comme son principal conseiller juridique, avec Jones Day comme conseiller sur les questions d’antitrust et de concurrence en dehors du Canada. La Financière Banque Nationale et Rockefeller Capital Management agissent à titre de conseillers financiers du conseil d’administration de Bombardier.
yant annoncé d’importantes expansions de son réseau de service et de soutien. L’entreprise exécute actuellement ce plan de croissance au moyen de projets dans le monde entier, notamment au moyen de nouvelles installations plus grandes à Singapour, à Londres et à Miami.
Bombardier Aviation, dont le siège social est situé à Montréal, au Canada, exerce des activités d’envergure dans 16 pays de par le monde.
Protocole d’entente
Bombardier a retenu Citigroup Global Markets Inc. et UBS Investment Bank comme ses conseillers financiers et Norton Rose Fulbright comme son principal conseiller juridique, avec Jones Day comme conseiller sur les questions d’antitrust et de concurrence en dehors du Canada. La Financière Banque Nationale et Rockefeller Capital Management agissent à titre de conseillers financiers du conseil d’administration de Bombardier.
C’C’
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Le prix de vente nette est d’environ 6 milliards d’euros (entre 5,8 et 6,2 milliard d’euros après ajustement selon la date de vente. Près de 1,5 milliards de passifs passe chez Alstom. La CDPQ encaissera 2 milliards d’euros (soit près de 2,2 B usd sur un investissement de 1,5 B usd) pour les 32,5% de Bombardier Transport, il restera donc environ 4 milliards d’euros (4,33 B usd) pour Bombardier.
La CDPQ s’engage à réinvestir les 2 milliards d’euros + 700 millions dans le capital d’Alstom et détiendra environ 18% de l’entreprise pour devenir le plus important actionnaires.
« Clôture prévue au cours du premier semestre de 2021, sous réserve de l’obtention des approbations réglementaires usuelles »
Ce ne sera pas facile de ce côté. Il y aura peut-être des aménagements à faire pour obtenir l’approbation.
en canadiens cela fait près de 5,7G selon le taux de change actuel. Tenant compte de ses liquidités actuelles, BBD devrait être en mesure de rembourser les 2/3 de sa dette tout en se gardant des liquidités pour développer son prochain avion d’affaires. L’augmentation de la cadence du 7500 n’est plus une inquiétude non plus. Même si BBD n’atteint pas sa cible de 40 en 2020, cela ne pèsera pas trop lourd dans la balance.
Le titre de l’article pourrait être le suivant: « La Caisse de dépôt et placement du Québec acquière Alstom. »
Du moins c’est une façon de le voir. La réalité c’est que suite à la transaction qui vient de se conclure la CDPQ détiendra 18% des parts d’Alstom alors que Bouygues, le 2e plus gros actionnaire, n’en détiendra que 10%.
SI Alstom achète Bombardier Transport c’est tout de même la Caisse qui sera le plus puissant actionnaire d’Alstom.
Pour prendre le contrôle il fait être majoritaire.
Avec cette restructuration que savons nous du projet « Bombardier offrira plus de 1 000 postes de stagiaire rémunérés au Canada pour l’année universitaire 2019-2020 » (paru le 12 septembre 2019Montréal)
ref page https://www.bombardier.com/fr/media/nouvelles/detail.binc-20190912-bombardier-to-provide-more-than-1-000-paid-intern-.bombardiercom.html?
Sa va prendre quelques mois pour finaliser cette transaction dit le ministre.Espérant que les fonctionnaire vont s’activer à vitesse grand V. ….http://lapresse.ca/affaires/economie/202002/17/01-5261297-pierre-fitzgibbon-confiant-que-la-transaction-bombardier-alstom-se-concretisera.php
BT aurait dû être vendu dès le départ pas longtemps après la mise en oeuvre du programme CSERIES. Ils n’auraient presque pas tout perdu.
Droit de préemption
Dans l’éventualité où soit la Caisse, soit Bombardier chercherait à vendre sa participation dans BT Holdco, elle devra offrir à l’autre partie la possibilité, pendant une période déterminée, d’acheter sa participation contre espèces à un prix équivalant au prix de vente minimum.
je ne suis pas un expert ,mais un droit de préemption dans un contract comme celui de la caisse ,lui donne la possibilité d’acheter la part de Bombardier au même prix que l’acheteur potentiel. Alors lorsque Legault Dit que c’est le meilleur pour le Québec ,il nous induit en erreur puisque la caisse pourrait acheter Bombardier ferroviaire au même prix qu’Alstom.
André Tousignant ..Mais la caisse de dépôt n’achète pas des entreprises c’est pas son mandat. La Caisse investit dans des entreprises nomme un certains nombres d’administrateurs parfois pour surveiller son investissement mais il ne peuvent aller plus loin de ce que je comprend.
Je comprend votre point de vue , mais c’était avant le REM. , dans ce cas ci , c’était la seul voie à suivre pour sauvé tout les emploies et garde cette compagnie en sol Québécois.
Entrevue du PDG 17 février 2020. …http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1526990/bombardier-pdg-alain-bellemare-c-series-vente-airbus-alstom
Entrevue du PDG. Réduction de la dette dit-il. ….http://journaldemontreal.com/2020/02/17/mission-reduction-de-la-dette-pour-bombardier-1
La FCCQ rassurée. ….http://lelezard.com/communique-19137445.html
Le Québec obtient une place de choix. …http://lelezard.com/communique-19137374.html
Brasser la cage. Pas nécessairement des mises a pied au niveau production si des contrats public seraient
accorder à la nouvelle compagnie selon les dire du premier ministre, mais plutôt des embauche éventuellement. Va falloir attendre que tous les ficelles de cette transaction soient attacher je présume avant de pavoiser. …http://lesaffaires.com/secteurs-d-activite/transport/coupures-a-venir-chez-bombardier-transport-/615987
Pas de menaces sur l’emploi. …..http://lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/achat-de-bombardier-transport-pas-du-tout-de-menaces-sur-l-emploi/615996
La caisse à fait un bon deal. Sa aurait un été un bon titre pour coiffer l’article selon moi. Mais c’est le fameux Journal ….. avec un titre qui peu-être interpréter de manière émotive « on c’est fait » avoir. Le contenu révèle une transaction d’affaire bonne pour l’économie Québécoise à long terme. À chacun son interprétation de cette transaction
mais c’est la mienne d’accord ou pas……http://journaldemontreal.com/2020/02/18/les-quebecois-finance-le-geant-alstom
Corr: http://journaldemontreal.com/2020/02/18/les-quebecois-financent-le-geant-alstom
Le contenu local. Moi j’appel ça se tenir de bout pour favoriser les entreprises qui produise ici en premier dans la mesure du possible. ….http://journaldemontreal.com/2020/02/18/le-contenu-local-devient-crucial
Somme toute un bonne final pour avancer au lieu de tourner en rond en se questionnent jour après jours que devons nous faire. ….http://lapresse.ca/debats/editoriaux/202002/17/01-5261316-bombardier-pour-sauver-les-meubles.php
L’aspect le plus important à comprendre est que Bombardier était au bord de la faillite lorsque Alain Bellemare est arrivé en poste et il l’a lui-même clairement dit à RDI Économie.
On peut donc voir monsieur Bellemare comme le sauveur et non pas le destructeur de ce fleuron québécois. De plus, si on était aux États-Unis la compagnie aurait fait faillite depuis longtemps et aurait été démantelé pour être vendu à la pièce.
Or, Bombardier existe toujours comme premier manufacturier au monde d’avions d’affaires. Et pour ce qui est du reste de la compagnie tout n’est pas perdu, loin de là!
D’abord non seulement le C Series existe toujours mais il est produit en nombres de plus en plus grands et le carnet de commande est plein pour les cinq prochaines années. Les appareils destinés au marché américain sont certes assemblés en Alabama mais pour le reste de la planète ils sont tous assemblés à Mirabel.
Pour ce qui est du CRJ il s’agit d’un programme qui était arrivé en fin de vie et son rachat par Mitsubishi aura eu pour effet d’amener au Québec un géant industriel qui vient y faire de la R et D.
Et en ce qui concerne Bombardier Transport on n’a pas perdu un siège social car celui-ci se trouvait déjà en Allemagne. Même qu’on a gagné le siège social des activités d’Alstom pour les Amériques. De plus la Caisse devient le plus gros actionnaire d’Alstom.
Jusqu’à maintenant il n’y a eu aucune perte d’emploi et aucune usine n’a été fermée. Et en plus de Bombardier on a maintenant Airbus, Mitsubishi et Alstom, tous des géants. Donc au final si Bombardier est perdante tout le Québec en sort néanmoins gagnant.
Très bien dit!
De plus, considérons qu’à Mobile, on ne sera en mesure de sortir qu’un seul appareil par mois pendant un bon bout de temps. La montée en cadence à trois ou quatre avions requière plusieurs années, de sorte que le gros de la production des A220, même américains, se fera à Mirabel pour longtemps encore. La consolidation de Stelia au « plan 1 » est un autre aspect plus que positif sur l’emploi.
La contribution de BBD et les efforts publics ont produit beaucoup de richesse au Québec.
Les engagements d’Alstom si non respecté, le premier ministre attend son PDG avec brique et fanal comme disaient les grand-pères autrefois. ….http://journaldemontreal.com/2020/02/18/rachat-de-bombardier-transport-alstom-sexpose-a-des-poursuites-monstrueuses-en-cas-de-non-respect-des-engagements-dit-francois-legault
Des engagements noir sur blanc dit-on. …http://lapresse.ca/affaires/entreprises/202002/18/01-5261455-alstom-a-pris-des-engagements-noir-sur-blanc-dit-legault.php
La Caisse de dépôt. ……http://journaldemontreal.com/2020/02/19/alstom-deviendra-le-plus-gros-placement-de-la-caisse-de-depot
Relance de l’industrie ferroviaire. ….http://lapresse.ca/debats/opinions/202002/17/01-5261315-le-gouvernement-doit-contribuer-a-la-relance-de-lindustrie-ferroviaire-au-quebec.php
Les cousins travailleurs français sont inquiets selon leur syndicat. …..http://lapresse.ca/affaires/202002/19/01-5261568-bombardier-alstom-un-syndicat-se-dit-tres-inquiet-pour-les-emplois-en-france.php
La caisse est confiante. ….http://lapresse.ca/affaires/economie/202002/20/01-5261761-engagements-dalstom-la-caisse-de-depot-est-confiante.php
Les syndicats d’Alstom se prononceront. Les votes des représentants des syndiqués n’auront qu’une valeur consultative. ……http://lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/fusion-alstom-bombardier-les-syndicats-se-prononceront-fin-juin—debut-juillet/616456
Bombardier est pas chanceux,en espérant que la crise du coronavirus sera passer quand la transaction sera complété en 2021 pour avoir le prix qui a été convenu en février 2020. ….http://lapresse.ca/affaires/entreprises/202003/13/01-5264615-covid-19-la-vente-de-bombardier-transport-pourrait-etre-moins-payante.php
Pour l’instant ces des pertes théorique (sur papier). Mais le porte parole de bombardier Olivier Marcil à confirmer que l’entente ne permettais aucun ajustement sur le prix d’obtention des actions d’Alstom. On verra en 2021 au moments de la transaction final. Si la pandémie perdure il se pourrait bien (JE PRÉSUME) qu’Alstom soit pas presser de faire accélérer auprès des autorités réglementaires européen la transaction en vu de forcer Bombardier à renégocier cette entente. Bombardier à toujours sa dette de plus de 9 milliards qui est assez urgent de régler pour assurer l’avenir des avions d’affaires pour pas qu’il subisse le même sort que la c serie. Le rapport de force sera du côté d’Alstom pour forcer bombardier à renégocier possiblement à la baisse.